L’exposition intitulée “…and it feels good” permet de se concentrer sur le plaisir de peindre, sur la couleur, mais aussi sur l’utilisation de sa qualité matérielle. Pourtant, à y regarder de plus près, aucune des œuvres ne respecte ces paramètres.

Umberto Eco a parlé de l'ouverture de l'œuvre d'art qui est générée par un nouveau type d'organisation de la réalité dans la peinture et le processus artistique en soi. Mais la peinture est-elle, au-delà de cela, une sorte de journal réflexif de ce qui est vécu, de la perception des choses, des situations, des impressions sensorielles qui surgissent soudainement et ne renvoient qu'à soi-même, donnant parfois au spectateur l'impression d'avoir rencontré l'essence de la nature, de la vie en soi – une essence élémentaire ?